Après avoir mêlé batterie et électronique dans diverses formations jazz, rock ou improvisées, Peter Orins développe l’expérience solitaire, accompagné d’un programme qui recycle la batterie arythmique et bruitiste, et traite l’instrument de manière quasi autonome. Le batteur et l’ordinateur s’accompagnent mutuellement. Un solo qui n’en est pas un, donc.